Reportages
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Reportage - Chasse au scarabée japonais
Sa tête est mise à prix. Depuis son arrivée en 2023, le Valais traque sans relâche le scarabée japonais. Parmi toutes les espèces animales invasives présentes sur sol valaisan, le coléoptère figure au rang d’ennemi public numéro 1. Lire la suiteÀ proposReportage - Chasse au scarabée japonais » -
Elections cantonales 2025 : un dimanche électoral aux Arsenaux
Dimanche 2 mars, Sion. Les Arsenaux sont à nouveau transformés en fourmilière médiatique. Après les Fédérales de 2023, place cette fois aux Cantonales 2025. Le centre de presse s’active. Journalistes, politiques, techniciens, serveurs : tous à leur poste. En coulisses ou sous les projecteurs TV, chacun vit le moment à sa manière. Alexandra, Didier, Céline, Léa, Ruth. Cinq prénoms, cinq regards. Une même journée, vécue différemment. Echos croisés d’un dimanche électoral. Lire la suiteÀ proposElections cantonales 2025 : un dimanche électoral aux Arsenaux » -
Un slalom entre les langues au cœur de la Foire du Valais
Dans l’effervescence de la Foire du Valais, un espace attire tous les regards : 120 m² de couleurs éclatantes, une carte géante du Valais truffée de détails surprenants et une fresque de personnalités valaisannes célèbres, toutes deux réalisées par l’artiste sierrois Julien Valentini. Lire la suiteÀ proposUn slalom entre les langues au cœur de la Foire du Valais » -
Reportage - Reglo
Depuis août 2023, la plateforme Reglo.ch informe les 12-20 ans sur leurs droits et devoirs. Le projet s'est enrichi en avril 2024 d'un compte Instagram. L’originalité de ce dernier ? Lire la suiteÀ proposReportage - Reglo » -
Série « Winter Palace » : le Château Mercier décroche son premier grand rôle au cinéma !
Durant trois semaines, le Château Mercier s’est métamorphosé en un décor de cinéma pour la série télévisée « Winter Palace ». Toutes les scènes en chambre de cette saga historique réalisée par Pierre Monnard ont été tournées à Sierre. Cette grande production sera diffusée sur la SSR à la fin 2024, puis sur Netflix, offrant ainsi une tribune internationale à ce joyau propriété du canton et dont le Conseil d’Etat a récemment décidé de renforcer l’attrait culturel. Reportage dans les coulisses du tournage. Lire la suiteÀ proposSérie « Winter Palace » : le Château Mercier décroche son premier grand rôle au cinéma ! » -
Les Arsenaux transformés en un centre médias
Les lieux sont réputés pour leur quiétude. Mais ce jour-là, rien de tel. Le 22 octobre 2023, à l’occasion des élections fédérales, le pôle culturel des Arsenaux à Sion s’est métamorphosé en un vaste centre médiatique. A l’invitation du canton, les rédactions ont investi les lieux. De l’atmosphère feutrée d’une médiathèque au tumulte de l’arène médiatique et politique, reportage au cœur d’un dispositif exceptionnel. Lire la suiteÀ proposLes Arsenaux transformés en un centre médias » -
Transition énergétique : Du solaire dans les prises de l’administration.
L’administration cantonale se tourne vers le solaire pour couvrir ses besoins en électricité. Objectif : tapisser plus de 50'000 m2 de toitures avec des panneaux photovoltaïques. Le canton met en service des centrales toujours plus puissantes. Reportage au Service de la circulation routière et de la navigation. Lire la suiteÀ proposTransition énergétique : Du solaire dans les prises de l’administration. » -
30 ans, une nouvelle cheffe et un déménagement : En 2023, l’Office cantonal de l’égalité et de la famille prend un nouvel envol.
Vis-à-vis a eu l’opportunité de découvrir en avant-première les nouveaux bureaux de l'Office cantonal de l’égalité et de la famille (OCEF), en pleine phase de déménagement. En 30 ans, l’OCEF a connu plusieurs périodes de transformation, voire de turbulence, avec une constante : le chiffre 3. L’office a déménagé trois fois, a changé de nom à trois reprises et a traversé trois grandes phases de développement. Retour sur cette trilogie avec trois personnages qui ont ou qui vont marquer l’histoire de l’OCEF. Lire la suiteÀ propos30 ans, une nouvelle cheffe et un déménagement : En 2023, l’Office cantonal de l’égalité et de la famille prend un nouvel envol. » -
Le Collège Spiritus Sanctus lutte contre le gaspillage énergétique
Huit bâtiments qui ont entre 350 et 20 ans, 900 élèves, 90 enseignants et une trentaine d’autres employés. Ces quelques chiffres clés du Collège Spiritus Sanctus de Brigue sont plutôt impressionnants. Du coup, comment économiser l'énergie de la manière la plus efficace possible avec de telles infrastructures ? Comme à la maison ! Baisser le chauffage, changer les ampoules, améliorer l'isolation, sensibiliser les utilisateurs, les habitants et les visiteurs et, si nécessaire ou si possible, planifier des investissements énergétiques efficaces. Vis-à-vis a rendu visite à l'ancien concierge du collège, Ivan Tenisch, ainsi qu'au recteur Gerhard Schmidt dans son bureau plutôt frais. Lire la suiteÀ proposLe Collège Spiritus Sanctus lutte contre le gaspillage énergétique » -
« Rendez-vous au bord du Rhône » : l’exposition qui changera le regard du Valais sur son fleuve emblématique
Le Rhône, une chance pour notre qualité de vie. C’est ce qu’entend démontrer l’exposition « Rendez-vous au bord du Rhône » qui a pris ses quartiers à Sierre, en avant-première. Itinérante et participative, l’exposition figure parmi les projets de l’Agenda 2030. Piloté par le Service des dangers naturels (SDANA), le projet résulte d’une large collaboration privée publique. Vis-à-vis se penche sur les coulisses de sa réalisation. Lire la suiteÀ propos« Rendez-vous au bord du Rhône » : l’exposition qui changera le regard du Valais sur son fleuve emblématique »
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Portrait

Portrait Kevin Raux - Sa quête du passeport suisse
«Je le jure ! » : par ces mots, Kevin Raux est devenu citoyen valaisan. L’assermentation s’est déroulée le 24 mai à la Simplonhalle de Brigue. Régis, son papa, et Celcivane, sa maman, sont à ses côtés. Le moment est intense et solennel. La famille Raux prête serment dans une salle comble – 360 candidats sont présents ce jour-là – devant le conseiller d’Etat Frédéric Favre et la sous-commission « Naturalisation » du Grand Conseil. La cérémonie terminée, Kevin Raux s’est vu remettre son acte d’origine. L’aboutissement d’un long parcours pour cet enfant de Port-Valais.
Kevin Raux a vu le jour à Nyon, mais c’est en Valais qu’il a grandi, dès l’âge de quatre ans. Ses parents ont immigré très jeunes en Suisse. Son papa vient du Nord-Pas-de-Calais en France et sa maman de la région de Rio de Janeiro au Brésil. « Jusqu’ici, lorsqu’on me posait la question de mes origines, je me sentais un peu mal à l’aise, de crainte qu’on me colle une étiquette, se souvient le nouveau citoyen valaisan. Cela dit, on ne m’a jamais fait sentir que j’étais étranger, peut-être aussi parce que les gens l’ignoraient ». Titulaire jusqu’ici d’un permis C, Kevin s’est toujours senti bien chez lui en Valais. Sportif assidu, il a porté haut les couleurs de son canton d’adoption. Membre des cadres valaisans de tennis, il a été couronné champion cantonal la saison 2014-2015. Kevin s’est également illustré en karaté avec une médaille de bronze au championnat suisse (2009-2010). Un modèle d’intégration, diront certains. Mais il en faut davantage pour prétendre à la nationalité helvétique.
Jusqu’ici, lorsqu’on me posait la question de mes origines, je me sentais un peu mal à l’aise, de crainte qu’on me colle une étiquette, se souvient le nouveau citoyen valaisan. Cela dit, on ne m’a jamais fait sentir que j’étais étranger, peut-être aussi parce que les gens l’ignoraient
Du premier entretien à l’obtention du passeport à croix blanche, quatorze étapes attendent tout candidat à une naturalisation dite ordinaire. Certaines phases s’avèrent plus stressantes que d’autres, à l’instar des auditions devant les autorités. Première étape, la commune de domicile : « A Port-Valais, nous avons été convoqués ensemble avec mes parents. Ce fut plus un entretien qu’un examen. On a entre autres échangé sur l’histoire de la Suisse, sa géographie, ses institutions. Tout s’est bien passé », se souvient Kevin.
Second oral, le canton. L’audition se passe devant la sous-commission « Naturalisation » du Grand Conseil. Pour notre candidat au passeport suisse, le rendez-vous a tourné court : « Là, je me suis retrouvé seul, sans mes parents, et les questions se sont avérées plus pointues que prévu ». Verdict : c’est l’échec ! « J’ai notamment trébuché sur la question des départements des sept conseillers fédéraux et sur la différence entre Chambre haute et Chambre basse », regrette Kevin. Ce même jour, son papa et sa maman passent avec succès ce grand oral.
Là, je me suis retrouvé seul, sans mes parents, et les questions se sont avérées plus pointues que prévu ». Verdict : c’est l’échec !
Si j’avais encore échoué, nous aurions dû recommencer à zéro, y compris mes parents, qui eux avaient pourtant tout réussi du premier coup
La deuxième tentative sera la bonne pour Kevin : « Pour le coup, je m’étais vraiment bien préparé. J’ai passé deux mois à tout apprendre par cœur ». Mais ce n’est qu’après les félicitations de ses examinateurs qu’il prendra toute la mesure de l’enjeu : « Si j’avais encore échoué, nous aurions dû recommencer à zéro, y compris mes parents, qui eux avaient pourtant tout réussi du premier coup ». Il en frémit encore.
La nationalité suisse se mérite. Mais elle en vaut le prix. Citoyen helvétique à part entière, Kevin a désormais accès aux droits politiques. « Ce fut l’une de mes principales sources de motivation, reconnaît-il. J’adore les débats de société et j’entends bien à présent m’engager politiquement. Mes valeurs ? La liberté d’entreprendre et la cohésion sociale sont des thèmes qui me sont chers ». Notre futur politicien se donne encore le temps de trouver un parti. En attendant, il se réjouit des « toutes premières fois » à venir, en l’occurrence l’assemblée primaire et les votations fédérales.
J’adore les débats de société et j’entends bien à présent m’engager politiquement.
Dame Helvetia accorde d’une main des droits et fixe de l’autre des devoirs. Servir l’armée en est un. Kevin y voit une belle opportunité : « C’est une chance énorme de pouvoir remplir ses obligations militaires. On y cultive la camaraderie tout en vivant des expériences hors du commun. A choisir, j’aurais une préférence pour l’armée de l’air », précise notre futur soldat. Mais avant son école de recrue, Kevin doit encore terminer son apprentissage d’employé de commerce. « Je viens de passer deux ans à la Chancellerie. Ma troisième et dernière année de formation se passera au SETI, le Service de l’économie, du tourisme et l’innovation ».
Franco-brésilien de souche et depuis peu Helvète, Kevin détient désormais trois passeports. Du haut de son mètre 96, il savoure son bonheur: « Je suis né en Suisse, j’ai fait toutes mes écoles en Suisse. Mes racines, elles sont suisses. Je ne vais pas pour autant renier mes origines brésiliennes et françaises». De ses origines plurielles, Kevin entend y puiser sa force, et pour lui, et pour ce Valais qui l’a vu grandir.
Je suis né en Suisse, j’ai fait toutes mes écoles en Suisse. Mes racines, elles sont suisses.
En visite

En visite à Vollèges
En visite à Vollèges<br> avec Bernard Abbet
Un site incontournable ? Les pâturages boisés
C’est un espace où forêts et pâturages cohabitent. Ici, à la belle saison, les vaches paissent et luttent au milieu des mélèzes. Bernard nous a conduits sur les hauts de Vollèges, jusqu’à l’alpage du Lein, à 1700 mètres d’altitude. « Les pâturages boisés sont emblématiques de notre région », explique-t-il. « Les éleveurs avaient besoin d’espace pour faire paitre le bétail. Ils ont ainsi défriché une partie de la forêt et laissé ce qu’il fallait de mélèzes pour que la nature soit belle. »
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A Vollèges, ces pâturages boisés s’étendent sur 220 hectares entre les alpages du Lein, du Tronc, des Planches et du Bioley. Ce patrimoine paysager tient une place à part en Europe. A l’occasion du Bicentenaire de l’entrée du Valais dans la Confédération, le canton a d’ailleurs planté une trentaine de mélèzes dans cette zone d’importance cantonale.
Mais pourquoi garde-t-on des arbres dans un pâturage boisé ? Pourquoi les mélèzes sont-ils aussi écartés les uns des autres ? Si le thème vous intéresse, un sentier didactique répondra à toutes vos questions. Une fois sur place, laissez-vous tenter par le sérac d’alpage. Bernard le recommande vivement : « Il est crémeux, c’est une véritable merveille à déguster ! »
Un témoin du passé ? Les mines de Mont Chemin
Changement de décor. Nous quittons l’air libre pour explorer les profondeurs du Mont Chemin. Lampes frontales enclenchées, Bernard nous conduit à l’intérieur d’une galerie artificielle. « Il s’agit de la mine Hubacher. L’ouvrage mesure 430 mètres de long. C’est l’une des dernières mines de la région à avoir connu une activité », précise notre guide. La galerie de prospection a été creusée dans les années 1970. Elle a révélé un gisement de plus de 150'000 tonnes de fluorine, un minerai indispensable à l’industrie de l’aluminium et à la sidérurgie. Hélas, la chute du cours de la fluorine a réduit à néant le projet d’exploiter la ressource. Nous nous enfonçons un peu plus dans la mine abandonnée. Un burin pneumatique coincé dans la roche et les vestiges d’une voie ferrée témoignent des moyens engagés à cette époque. « C’est un élément remarquable de notre région, à préserver coûte que coûte. C'est juste un truc absolument incroyable », s’enthousiasme Bernard.
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En plus de la mine Hubacher, le Mont Chemin dénombre une série de galeries dignes du plus grand intérêt. Le Sentier des mines emmène le curieux à la découverte de ce patrimoine minier. En activité depuis 25 ans, ce parcours thématique est en passe d’être revalorisé grâce au projet Interreg MIMonVe (Mines autour du Mont Vélan). Une expérience immersive avec jeux de son et lumière dans la galerie Hubacher fait partie des nouveautés à venir.
Une histoire fascinante : l’eau captée à 20 kilomètres de Vollèges
Pauvre en sources, Vollèges a souffert durant des siècles d’un manque chronique d’eau. Pour apaiser leur soif et irriguer leurs champs, les Vollégeards sont allés chercher l’or bleu au fond de la vallée de Bagnes. L’eau provient du Lac de Louvie, à 20 kilomètres de Vollèges et son parcours a longtemps été jonché d’obstacles : « Nous ancêtres ont dû creuser un tunnel, puis un bisse pour traverser la combe des hauts de Verbier. Et ce n’est pas tout... » De loin, l’enfant du pays nous montre les pentes de la Pierre Avoi, le passage le plus périlleux : « L’eau chutait d’une trentaine de mètres dans une canalisation en bois posée sur les pierriers instables de la Pierre Avoi. » Aux difficultés techniques et géologiques, venaient s’ajouter des rapports parfois compliqués avec le voisin : « Il arrivait que les Bagnards détournent le précieux liquide à leur avantage. »
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Il aura fallu la construction du barrage de Mauvoisin (1958) et la signature d’une convention avec Bagnes pour que Vollèges boive à sa soif. « A présent, un réseau de canalisations moderne achemine l'eau au col du Lein dans un bassin de rétention avant d’alimenter les villages et les terres en aval. »
Un livre retrace cette saga. « Bataille pour l’eau » de Clément Bérard, expose 500 ans d’une lutte sans trêve ni merci. L’épopée de l’eau alimente aussi contes et légendes. Bernard a retenu pour nous l’histoire des Diablats de la Pierre Avoi : « Des nuages de poussière et des bruits étranges montent quelquefois des roches de la Pierre Avoi. La légende dit que ce sont des diablats, des démons, qui en sont la cause. Ils chercheraient à détruire le canal qui jadis traversait ce pierrier ».
Ma petite adresse ? La micro-brasserie
On y valorisait le lait de la région. La laiterie de Vollèges produit désormais de la « mousse ». Arrivés au terme de notre visite, Bernard nous invite à découvrir la micro-brasserie de son village. La production se passe dans les sous-sols de la vénérable bâtisse. Les boilles à lait ont toutes disparu, faisant place à des fûts à bière et des cuves en inox.
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« Quel souvenir me reste-t-il de la laiterie ? Nous venions bien sûr y chercher notre lait, mais aussi une gourmandise appelée « le pri», que le fromager prélevait autour des fromages. Cela dit, je ne me sens pas nostalgique de l’époque. On a tous été enchantés par le projet de brasserie, car il perpétue en fait l’esprit artisanal du site », partage Bernard.
Aujourd’hui, la laiterie est sous le giron d’une amicale. « Son rachat n’a pas été facile », relève Bernard. « Les murs appartenant à plusieurs parties prenantes de la laiterie, il a d’abord fallu retrouver les nombreux propriétaires et leurs parts sociales avant de signer l’acte de vente. »
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La laiterie a changé de vocation il y a onze ans. La micro-brasserie y brasse désormais six breuvages distincts. On y trouve la Morentze, l’Epenette, la Creuse, la Tsélire, la Crevasse et la Tourbillon. Chacune de ces mousses porte le nom d’un lieu-dit de la région. « Ma préférée ? La Tourbillon », répond notre hôte, « parce que c’est une bière blonde désaltérante. »
Les brasseurs de Vollèges se définissent comme des amateurs passionnés de malt et de houblon. Leurs bénéfices sont réinvestis dans l’appareil de production et soutiennent les animations villageoises. Jamais à court d’idées, l’amicale a aussi lancé la balade de la bière. « Plusieurs brasseries artisanales sont invitées à participer à l’événement qui se tient le premier week-end de septembre. C’est une occasion unique de découvrir l’univers des micro-brasseries », conclut Bernard.
Dialogues
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Fidélité
Le canton fête ses jubilaires. Lire la suiteÀ proposFidélité » -
FMEP
La FMEP a fêté ses 75 ans lors de son assemblée des délégués. Lire la suiteÀ proposFMEP » -
Découvrir de nouvelles perspectives
Une cinquantaine d’enfants ont répondu à l’invitation de la Police cantonale le 8 novembre, à l’occasion de la journée Futur en tous genres. Lire la suiteÀ proposDécouvrir de nouvelles perspectives »
Info
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INFO - Ecole professionnelle commerciale et artisanale de Sion - Nomination du nouveau directeur
Le Conseil d’Etat a nommé Olivier Walther au poste de directeur de l’Ecole professionnelle commerciale et artisanale de Sion (EPCAs). Actuellement chef de section auprès de l’Ecole professionnelle technique et des métiers de Sion (EPTM), il prendra ses fonctions pour la rentrée scolaire 2025-2026 et succèdera à René Constantin qui a fait valoir son droit à la retraite. Lire la suiteÀ proposINFO - Ecole professionnelle commerciale et artisanale de Sion - Nomination du nouveau directeur » -
INFO - Médiation administrative - Nomination de deux médiateurs cantonaux
Le Conseil d’Etat a nommé un médiateur cantonal et une médiatrice cantonale pour faciliter le règlement à l’amiable des différends pouvant survenir entre l’administration et les citoyennes et citoyens. Fabien Maret, titulaire du brevet d’avocat et détenteur de diplômes en médiation, traitera les dossiers pour le Valais romand et Sabine Forny, médiatrice indépendante, pour le Haut-Valais. Ces médiateurs sont habilités à intervenir, sur demande de l’une des parties, lorsque les tentatives usuelles pour régler le conflit n’ont pas permis de trouver de solution satisfaisante. Lire la suiteÀ proposINFO - Médiation administrative - Nomination de deux médiateurs cantonaux » -
INFO - Nouveau chef de la Comptabilité générale de l’Etat du Valais
Le Conseil d’Etat a nommé David Albasini à la tête de la Comptabilité générale de l’Etat du Valais. Actuellement responsable financier et controlling au sein du Service des hautes écoles, il remplace Damian Locher, promu chef de l’Administration cantonale des finances, dès le 1er mai 2025. Lire la suiteÀ proposINFO - Nouveau chef de la Comptabilité générale de l’Etat du Valais » -
INFO - ACF - Damian Locher nommé chef de l’Administration cantonale des finances
Le Conseil d’Etat a nommé Damian Locher au poste de chef de l’Administration cantonale des finances. Titulaire d’un diplôme d’expert-comptable et d’un diplôme HES en économie d’entreprise, il était auparavant adjoint de ce même service et chef de la comptabilité générale de l’Etat. Originaire de Loèche, Damian Locher a acquis une large expérience professionnelle dans l’économie privée, et connaît parfaitement l’administration cantonale pour y collaborer depuis 2007. Il a succédé à Pierre-André Charbonnet, à partir du 1er avril 2025. Lire la suiteÀ proposINFO - ACF - Damian Locher nommé chef de l’Administration cantonale des finances » -
INFO - Office de l’éducation numérique - Nomination de Mathieu Moser au poste de chef d’office
Le Conseil d’Etat a nommé Mathieu Moser à la tête de l’Office de l’éducation numérique. Actuellement directeur des Ecoles de l’Arpille, Mathieu Moser prendra la direction de cet office nouvellement créé dès le 1er juin. Il aura pour mission de piloter et coordonner la mise en œuvre de la stratégie de l’éducation numérique. Lire la suiteÀ proposINFO - Office de l’éducation numérique - Nomination de Mathieu Moser au poste de chef d’office » -
INFO - Your Challenge
Nouveaux métiers, nouveaux horizons : l’Etat du Valais forme aux professions d’aujourd’hui et de demain Lire la suiteÀ proposINFO - Your Challenge » -
INFO - Photo du CE
Mathias Reynard accède à la présidence du Gouvernement valaisan. Le Conseiller d’Etat place son année présidentielle sous le signe du « Valais inclusif ». Cette thématique sera portée par plusieurs actions artistiques. La première : la photo officielle du Conseil d’État. Lire la suiteÀ proposINFO - Photo du CE » -
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INFO - « Bike to Work »
C’est reparti! L’édition 2025 de Bike to Work a débuté le 1er mai et l’Etat du Valais y participe à nouveau. Lire la suiteÀ proposINFO - « Bike to Work » » -
INFO -RH - Programme de formation pour soutenir nos cadres
L’Administration cantonale du Valais franchit une nouvelle étape dans l’accompagnement de ses cadres en adaptant son programme de développement. Lire la suiteÀ proposINFO -RH - Programme de formation pour soutenir nos cadres »
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Les chroniques de Stella

La chronique de Stella
Sacrée technologie !
Pour certains, la vie en télétravail n’est pas si terrible. Elle offre effectivement plusieurs avantages. On peut mettre le réveil un peu plus tard, plus besoin de manger à la cantine et on peut s’offrir de temps en temps des spaghettis aglio et olio sans provoquer de froncements de sourcils chez ses collègues. Mais pour ma part, il y a une chose que je ne supporte pas dans mon travail à la maison : les vidéoconférences. Même après une année, j’ai l’impression qu’elles suivent toujours le même sempiternel schéma.
Au début, c’est généralement la pagaille. Avec toujours les mêmes phrases et questions : « vous m’entendez? », « Thomas, t’es là? », « est-ce que quelqu’un sait si Tina va nous rejoindre? », « tu nous vois? », « je vous entends, mais je n’ai pas l’image.» Ensuite, lorsque tout le monde a réussi à se connecter, la réunion est interrompue par un chien qui aboie, un bébé qui pleure ou un mignon minet qui avance à tâtons sur le clavier en exposant son postérieur à la caméra. Une fois que chacun y est allé de son commentaire sur le doux mistigri ou a remis entre de bonnes mains son rejeton, les participants sont priés d’éteindre leur micro quand ils ne sont pas en train de parler. Ceci pour éviter que des bruits tels que décrits ci-dessus ne perturbent l’ordre du jour.
Un collègue choisit alors justement ce moment, loin d’être idéal, pour nous demander notre avis sur son image de fond « rigolote ». Et personne n’ose lui dire la vérité, à savoir que son super fond d’écran n’est en fait pas tellement plus qu’un fond vert qui lui coupe les cheveux ou la moitié du scalp.
La séance se poursuit. Le collègue X demande un peu de patience. C’est que, même après la dixième vidéoconférence, il n’a toujours pas compris comment partager son écran avec les autres. Et à la seconde où il y parvient enfin, il le regrette. Rappelons ici qu’il est conseillé de fermer certaines fenêtres ouvertes dans le navigateur en arrière-plan avant d’activer le partage d’écran.
C’en est trop pour moi. Il n’y a qu’une solution. Ma connexion est tout à coup mauvaise... J-e-e – grésillements – ne-e v…ous – grésillements – ...tends plus.
Conseils
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Conseil : protection des données
Depuis juin 2024, Maxime Beaumont, 37 ans, exerce la fonction de Délégué à la protection des données de l’Administration cantonale. Ses conseils pour prendre soin de nos données personnelles. Lire la suiteÀ proposConseil : protection des données » -
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Conseil : communication écrite
Les courriers électroniques envahissent notre quotidien. Mais maîtrise-t-on pour autant les codes et l’usage des e-mails ? Pas forcément ! La spécialiste Fabienne Schnyder nous rappelle les règles d’or de la communication écrite et des courriels en particulier. Lire la suiteÀ proposConseil : communication écrite » -
Conseil : communication écrite
Après les bonnes pratiques, place aux bonnes manières ! Dans ce numéro, nous mettons en lumière la nétiquette. La spécialiste en communication Fabienne Schnyder nous sensibilise aux règles de politesse et de savoir-vivre pour un usage courtois de nos courriels. Lire la suiteÀ proposConseil : communication écrite » -
Conseil : communication écrite
A l’heure où le courriel fait partie de notre quotidien professionnel, ce mode de communication reste pourtant semé d’embûches. Quel ton utiliser ? Comment gérer les destinataires ? Quelles sont les règles de confidentialité ? Le courriel nécessite prudence et précision. Fabienne Schnyder, experte en communication écrite, partage ses conseils pour éviter les faux pas et communiquer au mieux. Lire la suiteÀ proposConseil : communication écrite » -
Conseil : Mobilité professionnelle
L’administration cantonale promeut activement la mobilité partagée. Depuis 2020, elle met à la disposition de son personnel des véhicules en libre-service, comprenant à la fois des vélos et des voitures. Cette initiative s’inscrit dans le cadre du Plan de Moblité approuvé par le Conseil d’Etat, visant à encourager une mobilité professionnelle plus durable. Etes-vous tenté par la mobilité partagée ? Laissez-vous convaincre ! Lire la suiteÀ proposConseil : Mobilité professionnelle » -
Conseil : Cybersécurité
Depuis 2022, le Service cantonal de l’informatique teste notre vigilance face aux e-mails malveillants. 5 simulations de phishing ont été réalisées depuis. A l’évidence, les résultats ne sont pas à la hauteur des enjeux. Lire la suiteÀ proposConseil : Cybersécurité » -
Conseil : Focus sur la formation continue dédiée aux femmes
Dans son catalogue de formations, le canton propose des cours réservés aux femmes. Explications et petite séance de coaching dans notre rubrique conseil. Lire la suiteÀ proposConseil : Focus sur la formation continue dédiée aux femmes » -
Conseil : les astuces d’un expert pour économiser l’énergie
Au bureau ou à la maison, la sobriété énergétique est à la portée de toutes et tous. Démonstration en cinq clips. Lire la suiteÀ proposConseil : les astuces d’un expert pour économiser l’énergie » -
Zoom sur le bureau de soutien et de gestion des conflits
Vous traversez une mauvaise passe professionnelle ou privée ? Le Bureau de soutien et de gestion des conflits saura vous épauler. Lire la suiteÀ proposZoom sur le bureau de soutien et de gestion des conflits »
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Coup d'oeil dans les archives de l'Etat

Coup d’œil dans les archives de l’Etat
Les Décisions du Conseil d’Etat : du papier à l’électronique
506 registres ou 39 mètres linéaires, voilà ce que représentent les décisions prises par le Conseil d’Etat valaisan depuis 1815, sources essentielles pour la recherche, ainsi que pour la traçabilité de l’action de l’Etat.
Peu savent pourtant que, depuis 2011, le Conseil d’Etat valaisan prend ses décisions sur la base de dossiers entièrement électroniques grâce au système ECM DCE. A l’archivage papier s’est donc substitué un archivage numérique et les Archives de l’Etat du Valais ont déjà accueilli deux versements provenant du système ECM DCE en 2017 et 2021.

L’archivage électronique permet de récolter des informations plus complètes, directement issues du système informatique d’origine. Ainsi, si les registres papier ne contiennent que les décisions, les dossiers numériques permettent de retrouver l’ensemble des pièces justificatives, ainsi que l’historique du traitement de chaque affaire.
Pour autant, il ne faut pas oublier que le numérique reste un support fragile nécessitant des processus rigoureux établis bien en amont du moment de l’archivage. D’où l’importance de bien penser à associer dès le départ le personnel des Archives à vos projets informatiques!
