Conférence de presse

Lancement du Laboratoire de la mobilité

04/11/2014 | Service des routes, transports et cours d'eau

Après la signature d’une lettre d’intention en juillet dernier, cinq partenaires clés du monde politique, économique et académique en Valais ont concrétisé aujourd’hui à Sion le lancement du laboratoire de la mobilité. Le canton du Valais, la ville de Sion, l’EPFL, la HES-SO Valais-Wallis et La Poste Suisse SA unissent leurs compétences afin d’imaginer, développer et tester des solutions innovantes en matière de mobilité.

 
Le 4 novembre marque la date du lancement du laboratoire de la mobilité pour une durée de cinq ans. Avec la signature d’un contrat-cadre, ces cinq partenaires poursuivent le même but: développer des synergies interdisciplinaires autour de la mobilité et disposer d’une vitrine d’expérimentation et de mise en œuvre de nouvelles solutions dans ce domaine à des fins publiques.
 

Premiers projets en phase de lancement

Le laboratoire de la mobilité démarre avec la phase de lancement d’une série de quatre premiers projets  (cf. annexe ci-jointe). Le premier consiste à établir une typologie des comportements de choix de mode(s) de transport dans l’agglomération de Sion et ses environs. Il s’agit d’obtenir une vue d’ensemble des pratiques de mobilité sur le territoire afin de mettre en œuvre des mesures alternatives à la voiture. Le deuxième projet vise à développer une solution d’e-ticketing (billet électronique) novatrice basé sur les Smartphones et la technologie WiFi. L’usager pourra voyager sans acheter de titre de transport sachant que la prestation lui sera facturée après coup. Le troisième projet vise à développer des solutions intelligentes et innovantes afin d’optimiser la gestion et les performances de système de mobilité partagée. Sur la base du réseau de vélos en libre-service de la ville de Sion, il s’agit de développer des nouveaux outils de planification, gestion et interfaces clients pour une meilleure utilisation du système.

 

Enfin, le quatrième projet consiste à développer le covoiturage comme complément à l’offre de transport traditionnel, principalement dans des régions faiblement desservies.