Bulletin du Conseil d'Etat du mercredi 20 mai 2015

20.05.2015 | Chancellerie d'Etat 

20.05.2015 | Présidence | Article du BI
Séance du Conseil d'Etat du 20 mai 2015
Le Conseil d’Etat s’est penché sur 80 dossiers lors de sa séance hebdomadaire du mercredi 20 mai 2015. Il a répondu à deux interpellations et à un postulat. Il a adopté les prises de position sur les consultations fédérales suivantes: mandat de négociation d’un accord de libre-échange entre les Etats de l’AELE et la Géorgie; consultation - projets de modification de la loi sur les étrangers; consultation -ordonnance sur les personnes et les institutions suisses de l'étranger; audition - modification de l'ordonnance sur la navigation intérieure et à la refonte des prescriptions sur les gaz d'échappement des moteurs de bateaux dans les eaux suisses. Il a homologué une révision partielle, ainsi qu’une correction matérielle d’un plan d’affectation de zones Onze recours ont été traités par ses soins. Il a rendu sept décisions liées au personnel.
20.05.2015 | Santé, affaires sociales et culture | Article du BI
Examens de dépistage du cancer du sein
Le Conseil d’Etat a approuvé les conventions signées entre Promotion Santé Valais (PSV), tarifsuisse et HSK (Helsana, Sanitas et KPT) concernant la prise en charge des examens de dépistage du cancer du sein dans le cadre du programme mis en place dans le canton du Valais. Dès le 1er janvier 2015, les participantes qui n’ont pas droit à une réduction des primes d’assurance-maladie devront s’acquitter de la quote-part de 10%, soit un montant de 17.25 francs.
20.05.2015 | Economie, énergie et territoire | Article du BI
Projets de modification de la loi sur les étrangers
En acceptant le 9 février 2014 l’initiative contre l’immigration de masse, le peuple et les cantons suisses ont manifesté leur souhait d’un changement de paradigme dans le mode de gestion de la politique migratoire du pays. Le Conseil d’Etat a pris acte de cette décision démocratique, et ce malgré le refus du texte exprimé par le peuple valaisan. Il n’en reste pas moins attaché au principe fondamental du maintien de la voie bilatérale avec l’Union Européenne. En ce qui concerne le projet proposé, le Conseil d’Etat constate qu’il respecte la volonté du souverain et invite la Confédération à réfléchir à une mise en œuvre limitant au maximum les contraintes administratives pour les entreprises.